Le marché de l’art n’a pas fini de défrayer la chronique judiciaire. Cette fois-ci, le commentaire de Thibault de Ravel d’Esclapon porte sur les conséquences du défaut de paiement par un acheteur à la vente aux enchères de la collection Bergé et sur les tentative du gouvernement chinois d’obtenir par la voie judiciaire le retour d’œuvres -deux têtes en bronze-dérobées en 1860 lors du sac du Palais d’Eté à Pékin.
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